Nous privilégions les charpentes bois, mais nous pouvons étudier votre projet dans d’autres matériaux.

Les charpentes industrielles sont des charpentes de toitures composées de fermes industrialisées ou fermettes, qui reçoivent la couverture constituée d’éléments triangulés en bois de faible section.
Ce type de charpente peut être utilisé pour tous les types de toits, comble aménageable ou non.
Les assemblages des pièces de bois sont réalisées à l’aide de connecteur en acier galvanisé ou inox, avec des emboutis vrillés de différentes dimensions en fonction des charges à reprendre.
Les avantages de ce type de charpente : le coût, un très bon rapport résistance / légèreté, une installation rapide.

La charpente dite traditionnelle est constituée de fermes, de pannes et de chevrons. Ce type de charpente peut être prévu pour un comble aménageable ou non.

L’épaisseur des pièces de bois est supérieur à 50 mm.

C’est le système ancestral pour réaliser une toiture, elle est le fruit de l’évolution d’un savoir-faire précieux, et donnera un cachet exceptionnel à votre habitation.

La charpente traditionnelle peut être utilisée pour une construction simple ou plus ambitieuse, de l’abri de jardin aux toitures les plus complexes.

Le choix de la couverture et de la zinguerie sont très importants, car ces deux éléments sont déterminants dans l’esthétique d’une maison.

La couverture est l’ensemble des composants qui permettent de mettre le bâtiment à l’abri de la pluie et du soleil. En fonction des contraintes du POS de votre localité, vous pourrez choisir entre tuiles, ardoises, chaume, pierre de Lauze, tavaillons de bois... Aujourd’hui les tuiles sont proposées dans de nombreux coloris : rouge, rose, marron, couleurs dégradées, effet vieilli...

La zinguerie peut se définir comme l’étape de finition des toitures. Etymologiquement, la zinguerie consiste à faire usage du zinc.
Aujourd’hui, même si le matériau le plus utilisé reste le zinc, la zinguerie ne se résume plus à ce matériau, puisqu’elle inclut aussi des tubes et gouttières en PVC, en cuivre, en aluminium ou encore en feuille de plomb.

La zinguerie permet de conforter et rendre la toiture plus résistante.

Une toiture végétale, toiture végétalisme, toit végétalisé, toit vert ou PCVH (Paroi Complexe Végétalisée Horizontale) est une toiture recouverte de végétation, contrairement aux matériaux habituellement utilisés (bois, tuiles ou tôles).

Cette technique consiste à recouvrir d’un substrat végétalisé un toit plat ou à faible pente (en général moins de 30 °).
Elle se développe dans de nombreux pays d’Europe, surtout depuis les années 1970, et présente plusieurs intérêts, notamment pour des objectifs d’esthétique et de durabilité, comme dans la perspective de restauration ou protection de la biodiversité et de l’environnement en milieu urbain : en particulier concernant la qualité de l’air et l’atténuation des îlots de chaleur urbaine.

L’intégration d’un toit végétalisé est facilité si elle est envisagée dès la construction du bâtiment, mais elle peut tout à fait être envisagée sur des constructions existantes.

Les surcoûts de construction et les coûts d’entretien sont faibles, en comparaison des services rendus, particulièrement pour les terrasses plantées en extensif qui ne nécessitent qu’un nettoyage annuel des écoulements, aucun arrosage, et un entretien très réduit.
Loin de provoquer l’altération du bâtiment, cette technique assure au contraire une stabilité et une étanchéité du toit supérieure aux toitures classiques.

Le photovoltaïque est une technologie permettant de convertir l’énergie solaire (photons) en énergie électrique par l’intermédiaire de cellules solaires.

Un panneau photovoltaïque est constitué d’une série de cellules photovoltaïques formées d’un matériau semi-conducteur. Une cellule photovoltaïque produit du courant électrique continu.

Il existe différents types de cellules et de fabrication. Le matériau utilisé pour le semi-conducteur influe sur le rendement du panneau. Le plus utilisé est le silicium (à lui seul plus de 50 % du marché mondial) :
- silicium amorphe : rendement 6 à 8 %
- silicium poly-cristallin : rendement de l’ordre de 12 % à 15 %.
- silicium mono-cristallin : légèrement supérieur au précédent, avec un rendement de 15 à 17 %, mais sa fabrication est plus délicate donc plus coûteuse.

Notre prestation va de l’étude à l’implantation, puis la mise en route de vos panneaux.

Le Lamellé collé est utilisé le plus souvent pour des bâtiments de grande dimension, tels que les salles polyvalents et gymnases par exemple, pour ce qui est des bâtiments publics.

Cette technique permet de concevoir des structures originales voire audacieuses, et d’obtenir des pièces de longueur importantes, ainsi que des poutres cintrées ou de forme complexe.

Ses points forts : grandes portées, aspect moderne, attentes architecturales particulières.